
Risque de Burn out faible



Risque de Burn out moyen



Risque de Burn out fort


Vos réponses au test indiquent que, même si vous êtes exposé à des sources de stress, vous êtes actuellement peu impacté(e). Vous parvenez à maintenir un certain équilibre qui contribue à votre écologie personnelle. Ceci explique votre faible risque de Burn out.
Voyons maintenant de manière détaillée chaque sous-catégorie :
Vos réponses au test indiquent que vous êtes soumis à un certain niveau de stress qu’il vous devient difficile de réguler.
Deux phénomènes pouvant s’associer sont alors à considérer :
– la multiplication des sources de stress, qui augmente mécaniquement le niveau de stress,
– une exposition prolongée à certaines sources de stress, induisant un stress chronique.
Il est encore temps de mettre en place des actions visant à retrouver un meilleur équilibre entre vos stresseurs et vos ressources et ainsi préserver votre santé. Les explications que vous trouverez ci-après peuvent vous aider à mettre en place certaines choses par vous même, mais il est probable que vous ayez besoin de mobiliser de l’aide extérieure pour retrouver un meilleur équilibre.
Vos réponses au test indiquent que vous êtes soumis à un niveau de stress élevé avec un risque certain pour votre santé.
Cela peut s’expliquer par l’exposition à une source de stress majeure ces derniers temps à laquelle vous ne parvenez pas à vous adapter et/ou à une accumulation de stress depuis plusieurs mois, parfois plusieurs années ayant sollicité vos ressources sans toujours vous laisser la possibilité de récupérer.
Les explications que vous trouverez ci-après sont là pour vous aider à mieux comprendre ce qu’il vous arrive.
Cependant, votre situation semble déjà très avancée, et il est indispensable de mettre en place, sans tarder, des actions de préservations de votre santé avec l’aide d’un professionnel.
L'épuisement
La notion d’épuisement renvoi à un manque d’énergie, une fatigue plus ou moins intense qui peut être aussi bien physique que mentale là où le repos apparaît comme insuffisamment réparateur.
Vous ne présentez pas de signe d’épuisement, et c’est tant mieux.
Même s’il peut vous arriver parfois d’être fatigué(e), cette fatigue n’est pas persistante et cède volontiers avec du repos. Vous parvenez à gérer votre charge mentale sans difficulté.
L'épuisement
La notion d’épuisement renvoi à un manque d’énergie, une fatigue plus ou moins intense qui peut être aussi bien physique que mentale là où le repos apparaît comme insuffisamment réparateur.
Vous présentez des symptômes d’épuisement modéré. Le repos est de moins en moins réparateur. Vous sentez la fatigue s’installer aussi bien sur le plan physique que mental.
L'épuisement
La notion d’épuisement renvoi à un manque d’énergie, une fatigue plus ou moins intense qui peut être aussi bien physique que mentale là où le repos apparaît comme insuffisamment réparateur.
Vous présentez un épuisement très global, à la fois physique et mental.
Vous vous sentez vidé(e) et le travail implique un coût cognitif certain.
Cette fatigue intense ne parvient pas à céder malgré du repos car votre corps est lui-même épuisé.
La déficience cognitive
La déficience cognitive fait référence à des troubles de la concentration et de la mémorisation en lien avec des troubles de l’attention. Ce phénomène explique la tendance aux oublis et à la répétitions d’erreurs plus ou moins importantes, au sentiment d’être dans le brouillard et de perte d’efficacité.
Vos capacités cognitives sont intactes. Vous arrivez sans difficultés à mobiliser votre attention et à vous concentrer. Votre mémoire reste identique et votre capacité de raisonnement aussi.
Si cela venait à changer, cela pourrait être un signe que votre capacité d’adaptation est sursollicité.
La déficience cognitive
La déficience cognitive fait référence à des troubles de la concentration et de la mémorisation en lien avec des troubles de l’attention. Ce phénomène explique la tendance aux oublis et à la répétitions d’erreurs plus ou moins importantes, au sentiment d’être dans le brouillard et de perte d’efficacité.
Vous présentez quelques symptômes cognitifs qui commencent à retentir sur votre quotidien notamment professionnel. Votre attention est plus difficile à maintenir qu’avant, ce qui a tendance à engendrer des difficultés de concentration et de mémorisation. Il vous est également plus difficile d’exprimer votre pensée car même pour vous ce n’est pas toujours clair et la prise de décisions surtout dans l’urgence peut vous apparaître plus difficile.
La déficience cognitive
La déficience cognitive fait référence à des troubles de la concentration et de la mémorisation en lien avec des troubles de l’attention. Ce phénomène explique la tendance aux oublis et à la répétitions d’erreurs plus ou moins importantes, au sentiment d’être dans le brouillard et de perte d’efficacité.
Vous présentez des symptômes d’épuisement cognitifs se manifestant par des troubles de la concentration et de mémorisation en lien avec une surcharge mentale. Votre attention est accaparée par les soucis. Il vous est bien souvent impossible de vous concentrer sur une lecture.
La distance mentale
La distance ou distanciation mentale, dans le contexte du burn-out, désigne un mécanisme d’adaptation inefficace face à des exigences perçues comme insurmontables. La personne se détache émotionnellement et devient cynique, réduisant progressivement son engagement au travail. Cela s’accompagne d’un désinvestissement, d’une mise à distance de l’entourage professionnel et parfois de jugements négatifs envers ses collègues ou missions. Ce processus, souvent inconscient, renforce un sentiment d’inefficacité professionnelle, avec une baisse de l’accomplissement personnel, une dévalorisation de soi, et une perte d’idéal, pouvant mener à des pensées de résignation ou d’abandon du poste.
Votre engagement professionnel reste intact.
Si cela venait à changer, cela pourrait être un signe de ressources adaptatives en baisse.
La distance mentale
La distance ou distanciation mentale, dans le contexte du burn-out, désigne un mécanisme d’adaptation inefficace face à des exigences perçues comme insurmontables. La personne se détache émotionnellement et devient cynique, réduisant progressivement son engagement au travail. Cela s’accompagne d’un désinvestissement, d’une mise à distance de l’entourage professionnel et parfois de jugements négatifs envers ses collègues ou missions. Ce processus, souvent inconscient, renforce un sentiment d’inefficacité professionnelle, avec une baisse de l’accomplissement personnel, une dévalorisation de soi, et une perte d’idéal, pouvant mener à des pensées de résignation ou d’abandon du poste.
Vous présentez quelques symptômes de distanciation en lien avec une baisse de votre implication professionnelle. Il peut aussi vous arriver de manifester un certain cynisme à l’égard de votre travail et même parfois de douter de vous.
Restez vigilant car la bascule vers une installation plus durable de ces symptômes peut être particulièrement problématique.
La distance mentale
La distance ou distanciation mentale, dans le contexte du burn-out, désigne un mécanisme d’adaptation inefficace face à des exigences perçues comme insurmontables. La personne se détache émotionnellement et devient cynique, réduisant progressivement son engagement au travail. Cela s’accompagne d’un désinvestissement, d’une mise à distance de l’entourage professionnel et parfois de jugements négatifs envers ses collègues ou missions. Ce processus, souvent inconscient, renforce un sentiment d’inefficacité professionnelle, avec une baisse de l’accomplissement personnel, une dévalorisation de soi, et une perte d’idéal, pouvant mener à des pensées de résignation ou d’abandon du poste.
Vous ne vous reconnaissez plus. Il est possible que vos proches et/ou vos collègues vous en aient déjà fait part.
Vous aimiez votre travail. Il possible que vous l’ayez même un peu idéalisé et vous avez vu la situation se dégrader jusqu’à peut-être déjà vous en trouver dégouté, résigné. Par ailleurs, votre estime de vous même en a pris un coup.
Cet état d’esprit se répercute sur votre quotidien et cela vous est difficile à vivre.
Cette désillusion est très probablement source de souffrance. C’est pourquoi au delà de vous accordez du temps pour prendre soin de vous, il semblerait judicieux de vous faire épauler par un professionnel.
La déficience émotionnelle
La déficience émotionnelle fait référence à l’apparition d’une irritabilité, à une régulation des émotions perturbée. La personne a alors tendance à ne pas se reconnaître. A cela s’ajoute la sensation de perdre le contrôle, ce qui est une source importante de frustration souvent difficile à gérer.
Vous ne présentez de pas symptômes évocateur d’une altération de votre santé émotionnelle.
Les variations émotionnelles sont normales. L’important est de savoir les accueillir pour mieux les réguler.
Une bonne connaissance de soi et des compétences émotionnelles développées vous aiderons à repérer un basculement qui se traduirait principalement par une tendance à l’irritabilité, à moins bien réguler vos émotions et à avoir moins d’empathie, c’est-à-dire plus de difficultés à comprendre et percevoir les émotions des autres.
La déficience émotionnelle
La déficience émotionnelle fait référence à l’apparition d’une irritabilité, à une régulation des émotions perturbée. La personne a alors tendance à ne pas se reconnaître. A cela s’ajoute la sensation de perdre le contrôle, ce qui est une source importante de frustration souvent difficile à gérer.
Vous présentez des symptômes évocateur d’une altération de votre santé émotionnelle.
Même s’il est normal de vivre des variations émotionnelles au quotidien, vous sentez bien que les choses ont changés depuis quelques temps et qu’il vous est plus difficile de les réguler.
Au delà de votre capacité à réguler vos propres émotions, vous constatez qu’il vous est aussi plus difficile d’accueillir les émotions des autres et à exercer vos compétences d’empathie.
La déficience émotionnelle
La déficience émotionnelle fait référence à l’apparition d’une irritabilité, à une régulation des émotions perturbée. La personne a alors tendance à ne pas se reconnaître. A cela s’ajoute la sensation de perdre le contrôle, ce qui est une source importante de frustration souvent difficile à gérer.
Vous présentez de francs symptômes d’épuisement émotionnels tels qu’une irritabilité, une instabilité émotionnelle avec de potentiels accès de colère ou de tristesse.
C’est le signe d’un dépassement de vos capacités à absorber les fluctuations d’humeur.
Cela peut s’expliquer par l’exposition à des exigences émotionnelles fortes et plus ou moins prolongées.
Symptômes secondaires
Les symptômes dit secondaires font références à une tendance anxio-dépressive et à des manifestations physiques et psychiques de stress.
Dans votre cas, votre score est faible. Même s’il peut vous arriver de ressentir certains de ces symptômes, cela n’est pas significatif.
Toutefois, il est important de rester à l’écoute de ce qui se passe aussi dans votre corps de manière à percevoir les « notifications » qu’il vous envoie et de développer cette conscience de vous-même, de vos sensations internes, autrement dit votre intéroception, qui représente un véritable levier en matière de préservation de votre santé.
De la même manière, apprendre à observer vos pensées, vous amenera petit à petit à mieux comprendre les éventuels liens entre corps et esprit.
Symptômes secondaires
Les symptômes dit secondaires font références à une tendance anxio-dépressive et à des manifestations physiques et psychiques de stress.
Dans votre cas, votre score est intermédiaire. Il vous arrive donc de ressentir certains de ces symptômes qui sont à percevoir comme des signaux.
Restez à l’écoute de ce qui se passe dans votre corps de manière à percevoir les « notifications » qu’il vous envoie et développer cette conscience de vous-même, de vos sensations internes, autrement dit votre intéroception, est un véritable levier en matière de préservation de votre santé.
Apprendre à observer vos pensées, vous amènera aussi, petit à petit à mieux comprendre les éventuels liens entre corps et esprit.
Symptômes secondaires
Les symptômes dit secondaires font références à une tendance anxio-dépressive et à des manifestations physiques et psychiques de stress.
Dans votre cas, votre score est élevé. Il vous arrive donc fréquemment de ressentir certains de ces symptômes qui sont à percevoir comme des signaux.
Rester à l’écoute de ce qui se passe dans votre corps de manière à percevoir les « notifications » qu’il vous envoie et développer cette conscience de vous-même, de vos sensations internes, autrement dit votre intéroception, est un véritable levier en matière de préservation de votre santé.
Apprendre à observer vos pensées, vous amenera aussi, petit à petit à mieux comprendre les éventuels liens entre corps et esprit.
Les éléments suivants ont pour objectifs de vous aider à mieux comprendre votre score et vous donner des pistes pour mieux prendre soin de vous. Cependant, cela ne remplacera pas une consultation auprès d’un professionnel de santé. Si vous en ressentez le besoin, consultez et ce quelque soit votre score.
Bien que votre risque de burn out est à ce jour faible, vous avez pris le temps de vous évaluer et ce travail d’introspection peut être une excellente occasion de faire de la prévention.
Les éléments suivants ont pour objectifs de vous aider à mieux comprendre votre score et vous donner des pistes pour mieux prendre soin de vous. Cependant, cela ne remplacera pas une consultation auprès d’un professionnel de santé. Si vous en ressentez le besoin, consultez et ce quelque soit votre score.
Il est encore temps de rééquilibrer la balance entre les ressources et les stresseurs pour ne pas basculer dans le burn out. Attention, ce stade s’accompagne régulièrement d’un certain déni. Les personnes peuvent avoir tendance à s’obstiner en pensant qu’elles vont, avec des efforts supplémentaires, pouvoir y arriver.
Cela peut malheureusement participer à aggraver la situation, jusqu’à ce que le corps finisse par dire STOP.
Les éléments suivants ont pour objectifs de vous aider à mieux comprendre votre score et vous donner des pistes pour mieux prendre soin de vous. Cependant, cela ne remplacera pas une consultation auprès d’un professionnel de santé. Si vous en ressentez le besoin, consultez et ce quelque soit votre score.
Vous présentez un risque élevé de burn out. Dans une telle situation, si les paramètres de l’environnement ne peuvent être modifié de manière à supprimer les stresseurs, il est alors la plupart du temps nécessaire de s’extraire du contexte professionnel, source de stress. C’est la raison pour laquelle dans les situations les plus avancées l’arrêt de travail est inévitable.
Nous vous recommandons de consulter sans tarder votre médecin traitant pour évoquer votre situation. Vous pouvez également solliciter le médecin du travail de votre organisation.
Facteurs internes

Certains profils, notamment les plus perfectionnistes d’entre nous, sont plus à risque de burn out car leur niveau d’exigence envers eux-mêmes (et envers les autres) peut-être très élevé et conduire à une surcharge de stress.
Une partie de ce que nous sommes est innée (et non modifiable). C’est le cas de notre biologie. Le reste est acquis et relève de notre histoire de vie mais aussi de notre éducation et de l’environnement dans lequel nous évoluons dès l’enfance.
Le burn out est souvent décrit comme « le syndrome du bon élève » et à juste titre puisqu’il touche majoritairement des personnes très impliquées dans leur activité professionnelle. Cette volonté de tellement bien faire peut mobiliser tellement d’énergie que cela peut être trop pour l’organisme.
Voici quelques défis pour les plus perfectionnistes :
– Être moins exigeant avec soi-même, (ce n’est pas le résultat qui fait notre valeur)
– Accepter que la perfection n’est pas de ce monde, (prenons exemple sur la nature)
– Lâcher prise sur ce que nous ne pouvons pas contrôler, (il y a ce qui dépend directement de nous et le reste)
– Se dire qu’à 80 % c’est déjà très bien. (On n’est pas obligé de toujours viser le 110%).
Cela vous paraît compliqué ?
La bonne nouvelle, c’est que cela se travaille, notamment avec un accompagnement professionnel.
Facteurs externes

Le référentiel le plus utilisé en matière de Risques PsychoSociaux (le stress en contexte professionnel) est celui décrit par Gollac.
En amont, un certains nombre de facteurs de risques (que l’on peut également appeler causes ou encore stresseurs) peuvent être présents. Il est important de les connaître pour pouvoir mieux identifier ceux auxquels nous nous trouvons confrontés.
Selon la classification de Gollac, il existerait 6 catégories de facteurs de risque :
– Intensité et temps de travail
– Exigences émotionnelles
– Autonomie et marge de manœuvre
– Rapports sociaux
– Conflits de valeurs
– Insécurité de la situation de travail
Pour en savoir plus sur ces facteurs, nous vous encourageons à lire notre article dédié aux RPS.
Il n’est pas rare d’être exposé à plusieurs facteurs de stress en contexte professionnel, auxquels peuvent s’ajouter des facteurs de stress issues de la sphère personnelle.
Ces autres stresseurs méritent également d’être bien identifiés de manière à mettre en place des stratégies et de développer des ressources permettant de maintenir un équilibre global.
Une fois vos différents stresseurs identifiés, voici les questions que je vous encourage à vous poser :
– Puis-je me délester de cette source de stress ? Si la réponse est oui tant mieux mais ce n’est pas la majorité des situations.
– De quelle manière pourrais-je limiter mon exposition à ce stresseur ?
– A l’aide de quelle(s) stratégie(s) puis-je réguler le stress généré par ce facteur ?
– Par quelle(s) ressource(s) puis-je compenser ce stresseur ?
– Puis-je changer de regard sur ce facteur ?
Cette dernière question n’est pas à négliger car tout part d’une perception. Si vous connaissez vos stresseurs, que vous avez appris à développer vos stratégies et vos ressources, que vous vous savez capable de faire face alors vous n’êtes plus face à une menace mais face à un défi, et cela pourrait considérablement faire baisser votre niveau de stress et peut-être même vous faire atteindre le Flow.
Prendre soin de soi

Maintenir l’équilibre demande une pleine attention car la santé est un continuum. Il est important d’avoir conscience de chacun de vos poids pour pouvoir les répartir entre votre vie professionnelle et votre vie privée, entre stresseurs et ressources, entre vos différentes tâches de travail, entre activité et repos, et développer ainsi votre écologie personnelle.
Hygiène de vie (sommeil, alimentation, activité physique)
Être en bonne santé nécessite de prendre soin de soi. Cela se joue au quotidien avec une hygiène de vie la plus saine possible. Votre sommeil et votre alimentation ont un rôle essentiel à jouer dans le maintien de votre santé, de même qu’une activité physique régulière sans nécessairement que cela soit du « sport ». Marcher, en extérieur (j’insiste sur ce point), 30 minutes par jour et vous exposer à la lumière naturelle participera à la restauration du corps et de l’esprit. C’est une manière d’activer votre petite pharmacie interne.
Activités ressources
Une autre manière d’activer votre petite pharmacie interne est de planifier des temps ressource à travers des activités plaisantes, telles que les activités créatives ou le bricolage.
Lien social
Ne négligez pas l’importance des liens sociaux. Pour être en bonne santé globale, nous devons prendre soin de notre santé physique, de notre santé mentale mais aussi de notre santé sociale.
Ces liens doivent nous nourrir. Pour cela, il faut les choisir. Et trouver le juste dosage pour avoir aussi des moments de repos bien nécessaires.
Par ailleurs, ne confondons pas isolement et solitude. Certaines personnes peuvent être très entourées mais se sentir malgré tout très seules. C’est ce sentiment de solitude qui est particulièrement délétère pour notre santé.
Se connecter à ses valeurs (donner du sens à son existence)
Connaître vos valeurs, c’est savoir quelle direction vous voulez donner à votre vie. C’est aussi savoir ce que vous n’êtes pas en capacité de tolérer pour rester aligner.
Plus vous en aurez conscience, plus vous aurez tendance à faire en sorte de les respecter. On parle souvent de la santé comme d’un tabouret à 3 pieds : physique, mentale, sociale. Des valeurs nourries, c’est comme avoir un 4è pied au tabouret de votre santé. C’est plus stable !
Prendre soin de soi

Maintenir l’équilibre demande une pleine attention car la santé est un continuum. Il est important d’en avoir conscience pour pouvoir répartir les poids entre vie professionnelle et vie privée, entre stresseurs et ressources, entre nos différentes tâches de travail, entre activité et repos, et développer ainsi notre écologie personnelle.
Attention donc aux débordements. C’est dans ce genre de situation que l’on commence à vouloir faire plus en se disant que cela ira mieux après. Si cela commence à ne plus franchement ressembler à un « coup de bourre » transitoire, ne restez pas seul. Parlez-en à votre manager. Faites appel aux professionnels du service de santé au travail.
Le risque est de petit à petit faire toujours plus pour absorber une charge importante, de ne plus avoir de temps de récupération suffisants. De s’apercevoir que l’on n’y arrive pas et de perdre totalement confiance en soi.
Hygiène de vie (sommeil, alimentation, activité physique)
Retrouver une bonne santé nécessite de prendre soin de soi. Cela se joue au quotidien avec une hygiène de vie la plus saine possible. Votre sommeil et votre alimentation ont un rôle essentiel à jouer dans la restauration d’un équilibre, de même qu’une activité physique régulière sans nécessairement que cela soit du « sport ». Marcher, en extérieur (j’insiste sur ce point), 30 minutes par jour et vous exposer à la lumière naturelle participera à la restauration du corps et de l’esprit. C’est une manière d’activer votre petite pharmacie interne.
Activités ressources
Une autre manière d’activer votre petite pharmacie interne est de planifier des temps ressource à travers des activités plaisantes, telles que les activités créatives ou le bricolage.
Lien social
Ne négligez pas l’importance des liens sociaux. Pour être en bonne santé globale, nous devons prendre soin de notre santé physique, de notre santé mentale mais aussi de notre santé sociale.
Ces liens doivent nous nourrir. Pour cela, il faut les choisir. Et trouver le juste dosage pour avoir aussi des moments de repos bien nécessaires.
Par ailleurs, ne confondons pas isolement et solitude. Certaines personnes peuvent être très entourées mais se sentir malgré tout très seules. C’est ce sentiment de solitude qui est particulièrement délétère pour notre santé.
Se connecter à ses valeurs (donner du sens à son existence)
Connaître vos valeurs, c’est savoir quelle direction vous voulez donner à votre vie. C’est aussi savoir ce que vous n’êtes pas en capacité de tolérer pour rester aligner.
Prenez conscience des éventuels conflits de valeurs auxquels vous pouvez vous trouver confronté et prenez le temps d’étudier les actions vous permettant de rester aligné.
On parle souvent de la santé comme d’un tabouret à 3 pieds : physique, mentale, sociale. Des valeurs nourries, c’est comme avoir un 4ème pied au tabouret de votre santé. C’est plus stable !
Prendre soin de soi

Maintenir l’équilibre demande une pleine attention car la santé est un continuum. Il est important d’en avoir conscience pour pouvoir répartir les poids entre vie professionnelle et vie privée, entre stresseurs et ressources, entre nos différentes tâches de travail, entre activité et repos, et développer ainsi notre écologie personnelle.
Attention donc car vous n’êtes probablement qu’à une goutte d’eau du débordement. Cela fait sûrement un certains temps que vous résistez sans en voir le bout et cela a d’ailleurs sérieusement entamé votre confiance en vous.
Ne restez pas seul. Parlez-en à votre manager et faites appel aux professionnels du service de santé au travail ainsi qu’à votre médecin traitant.
Hygiène de vie (sommeil, alimentation, activité physique)
Il est urgent de prendre soin de vous et cela commence par une hygiène de vie la plus saine possible. Votre sommeil et votre alimentation ont un rôle essentiel à jouer dans votre rétablissement.
Aussi, je vous encourage à avoir une activité physique minimum. Je n’ai pas dit « sport » car il très probable que cela vous soit complètement impossible compte tenu de votre état de fatigue.
En revanche, marcher, en extérieur (j’insiste sur ce point), 30 minutes par jour et vous exposer à la lumière naturelle participera à la restauration du corps et de l’esprit. Cela vous demandera un effort. Mais cela en vaut la peine car c’est une manière d’activer votre petite pharmacie interne.
Activités ressources
Une autre manière d’activer votre petite pharmacie interne est de planifier des temps ressource à travers des activités plaisantes, telles que les activités créatives ou le bricolage.
NB : Si vous étiez du genre à aimer vous installer dans le canapé avec un bon bouquin, il est fort probable qu’il vous soit pour le moment impossible de lire plus de 3 lignes. C’est normal, votre attention est limitée. Ce sont les conséquences de votre épuisement cognitif. Quand la lecture vous sera de nouveau possible, ce sera le signe que cela va mieux.
Lien social
Ne négligez pas l’importance des liens sociaux. Pour être en bonne santé globale, nous devons prendre soin de notre santé physique, de notre santé mentale mais aussi de notre santé sociale.
Ces liens doivent nous nourrir. Pour cela, il faut les choisir. Et trouver le juste dosage pour avoir aussi des moments de repos bien nécessaires.
Par ailleurs, ne confondons pas isolement et solitude. Certaines personnes peuvent être très entourées mais se sentir malgré tout très seules. C’est ce sentiment de solitude qui est particulièrement délétère pour notre santé.
Justement, on ne le dit pas assez mais le burn out a un retentissement social évident. Il peut amener un très fort sentiment de solitude. Même si cela peut représenter un effort, il est essentiel de trouver du soutien auprès de nos proches et de partager avec eux des moments agréables.
Attention toutefois à ne pas vouloir en faire trop. Au delà de la fatigue physique que l’on peut ressentir, les interactions sociales nous mobilisent également sur les plans émotionnels et cognitifs.
Se connecter à ses valeurs (donner du sens à son existence)
Il est possible que votre risque élevé de burn out soit lié à des valeurs bafouées. Certaines personnes vont se trouver en conflit avec leurs valeurs ce qui pèse plus que la charge de travail ou des relations de travail dégradées. Ceci représente une source de stress certaine qui peut plus ou moins rapidement précipiter les personnes dans une forme spécifique de burn out : le brown out.
Connaître vos valeurs, c’est savoir quelle direction vous voulez donner à votre vie. C’est aussi savoir ce que vous n’êtes pas en capacité de tolérer pour rester aligné.
On parle souvent de la santé comme d’un tabouret à 3 pieds : physique, mentale, sociale. Des valeurs nourries, c’est comme avoir un 4è pied au tabouret de votre santé. C’est essentiel pour retrouver votre stabilité !